Issu d’une formation généraliste en information et communication (IUP InfoCom, Nancy II), mon parcours de chargé de communication m’a amené à élargir le champ de mes compétences à mesure que le périmètre de mon poste a évolué.
Initialement en charge du développement des projets multimédia et de la communication institutionnelle pour des opérateurs nationaux œuvrant pour l’intérêt général, j’ai eu envie de prendre de la hauteur sur ma pratique et de me positionner sur les aspects stratégiques. C’est donc assez logiquement que je me suis formé aux techniques pour définir et évaluer des stratégies et plans de communication.
Avant d’identifier un organisme formateur qui m’apporterait les contenus dont j’avais besoin, j’ai d’abord cherché à en savoir plus sur le processus de veille, et plus particulièrement, la e-réputation. Parmi les premiers résultats de recherche, j’ai trouvé différents articles issus du blog de Blueboat. C’est donc assez naturellement que j’ai parcouru le reste du site et découvert l’activité de formateur de Blueboat.
Par la suite, j’ai effectué d’autres recherches qui m’ont permis de retenir une liste d’organismes dont certains étaient situés sur Paris et d’autres en région. Étant contraint par un calendrier très serré pour la mise en place du module de formation, un des critères de sélection retenu a été la réactivité et la capacité à produire une réponse adaptée à ma demande dans un temps très court. Blueboat a été le seul opérateur a pleinement satisfaire cette exigence.
Au-delà de l’aspect très complet de la formation, de la compréhension du cycle de la veille aux études de cas, j’ai apprécié le mode collaboratif sur lequel elle est construite. La possibilité d’interagir avec le formateur et de recontextualiser dans le cadre de mon environnement de travail ont facilité mon appropriation de la démarche de veille.
Par ailleurs, la mise à disposition d’outils ainsi que leur prise en main constituent également les atouts de cette formation. Même s’il ne s’agit pas de maîtriser tous les outils à l’issue de la formation, le fait d’avoir un panorama complet des solutions existantes permet d’envisager l’écosystème de la veille et de cerner le dispositif mobilisable en fonction des besoins du commanditaire.
Tout dabord, je dirais que j’avais une vision un peu étroite de la veille et trop centrée sur les outils. Le fait de réintroduire l’humain au cœur du processus m’a permis d’appréhender la veille dans une acception plus large et, surtout, d’ouvrir le champs des sources pour la récolte d’information.
J’ai aussi mieux compris l’usage qui pouvait être fait de la veille dans un cadre stratégique. En effet, veiller ne consiste pas simplement à alimenter un groupe de collaborateurs en actualités accessibles à tous sur Internet. Trouver l’information « grise » est un processus complexe en perpétuelle évolution qui nécessite de se réinterroger régulièrement pour en conserver la pertinence.
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